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Le jeudi 16 octobre 2014, à Paris, dans l'amphithéâtre de l'INRA,

Des professionnels du monde de l'élevage (techniciens d'OS, inséminateurs, gestionnaires de programmes de sélection, vétérinaires, conseillers en élevage, responsables d'unité expérimentale, éleveurs ...) et des scientifiques intéressés sont venus écouter les toutes dernières actualités autour des anomalies bovines

Après une introduction de Didier Boichard,

nous rappelant l'impact des anomalies génétiques bovines, et les bienfaits d'une prise en charge rapide pour traiter au mieux les émergences,

Pauline Michot, doctorante à l'INRA,

a expliqué les nouvelles approches puissantes qui permettent de prédire l'arrivée de nouvelles anomalies.

Hélène Leclerc, Institut de l'élevage,

a présenté les premiers résultats prometteurs d'un programme de recherche qui assure le suivi génétique de la mortalité des jeunes animaux.

Guillaume Fayolle, UMOTEST, Pauline Otz, VetAgroSup, et Aurélien Capitan, UNCEIA

Ont montré que le bovin était un très bon modèle pour la recherche dans l'espèce humaine, à travers l'illustration de la desendance d'un taureau Montbéliard atteint du syndrome de CHARGE

Amandine Duchesne, INRA, et Aurélien Capitan, UNCEIA,

ont raconté deux histoires en monte naturelle,

à travers le programme de recherche sur l'ataxie progressive en Charolais

et l'anomalie "sans poils et sans dents"

Marie-Josée Mercat, IFIP

a détaillé la situation des anomalies dans l'espèce porcine

L'après-midi a été consacrée aux moyens à mettre en oeuvre pour obtenir une meilleure remontée des cas d'anomalies à l'ONAB:

Coralie Danchin-Burge, Institut de l'élevage, et Cécile Grohs, INRA

Ont présenté les statistiques des remontées,

ont rappelé le circuit de remontées des informations/des échantillons

ont montré les anomalies en cours d'étude